Une note verte, un beat vintage, un souffle boisé. Il flotte dans l'air un parfum de gin, d'électricité et de transgression.
London Funk pulse comme une nuit sans fin sur le rooftop de Biba, saturée de fumée et d'audace. Un parfum rythmé et addictif inspiré par une rencontre fictive entre Jim Morrison et Debbie Harry : deux âmes déchaînées en attraction permanente, oscillant entre hallucination poétique et sensualité brute.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Depuis l'Antiquité, les ingrédients les plus évocateurs sont utilisés pour séduire : ambre, encens, civette, résines — autant de matières associées à la sensualité et au pouvoir. Aujourd'hui, grâce aux outils d'analyse moléculaire dont bénéficie la parfumerie contemporaine, il est possible de recomposer des accords olfactifs inédits.
Vilhelm Parfumerie repousse les limites en explorant des accords conçus pour réveiller les émotions les plus viscérales, inspirés des grandes addictions de notre époque : le café, les spiritueux, le chocolat, le cannabis, les notes torréfiées, ou encore ces senteurs quasiment imperceptibles qui évoquent la chaleur d'une peau ou l'empreinte secrète de l'intimité... Ces notes, même abstraites, sont liées à la mémoire sensorielle et activent par le biais de l'odorat l'effet du plaisir dans le cerveau. Ces constructions olfactives ne cherchent pas à plaire à tout prix, mais à créer une obsession. London Funk s'inscrit dans cette lignée, en fusionnant fraîcheur narcotique et sombre plaisir dans une composition qui séduit, dérange... et revient hanter.
